Lamborghini s’accroche à l’atmosphérique et un sens inné du spectacle, incarné de la plus belle manière qui soit par la Huracán Spyder deux roues motrices.
La vie en Lamborghini est une fête ! Vous sentez venir la tirade enflammée sur la musique du légendaire V10 atmo ? Chaque mise à feu, chaque tunnel, chaque paroi rocheuse bref, chaque instant ou presque au volant vous donne raison et nous fait perdre la notre.
Mais la fête est ailleurs, ou plutôt partout. Depuis la Performante, la Huracán a fait une entrée fracassante au plus haut niveau d’une catégorie ô combien relevée.
La dernière génération, baptisée EVO, s’y est solidement installée. Le catalogue Lamborghini ne s’était pas encore enrichi d’une EVO RWD Spyder allégée de deux roues motrices.
Inutile de commencer à jouer avec les modes de conduite pour ressentir l’exquis mélange de théâtralité, de fun et de rigueur proposé par la Huracán des épicuriens. La capote évidemment rangée dans son coffre (en 17 secondes), les poumons se gonflent d’un bon air frais et les tympans d’une mélodie aux mille variations. Il est de coutume chez Lamborghini de dégonfler le V10 des modèles propulsion (hormis la STO). La puissance chute ainsi de 640 à 610 ch, soit la cavalerie dont disposait l’ancienne Huracán quatre roues motrices. Le sacrifice est d’autant plus supportable qu’il est compensé par un allègement de 33 kg. Même avec une pente à 7 %, l’Italienne grimpe avec le panache du taureau de combat doré tatoué sur son museau.Le Spyder de Sant’Agata joue sur un registre d’une tout autre noblesse, le V10 Lambo permet de ne pas rater une miette du fabuleux voyage. L’aiguille du compte-tours ne bondit pas entre chaque couplet, elle laisse déguster chacun des 8 700 tr/mn qui composent cet hymne à la joie.
Dans un monde automobile qui ne jure que par la suralimentation quand il ne sombre pas dans la torpeur électrique, pareil concert a le don d’arrêter le temps. Ce bloc atmosphérique n’a pas toujours chanté aussi juste et fort. Sa voix a pris toute son ampleur avec la Performante, première version à avoir bénéficié de soupapes en titane, d’une admission revue, d’une gestion électronique plus “agressive” et surtout de cette fabuleuse ligne d’échappement en titane. Pourtant proche cousine de cette Huracán sur le papier, la R8 RWD était infiniment moins volubile, vibrante et efficace. Les deux autos partagent beaucoup de choses, mais manifestement pas l’essentiel. À commencer par la mise au point. Du comportement flou voire scabreux de l’Audi à la limite, on ne retrouve rien, Dieu soit loué, au volant de la Lambo. Celle-ci fait montre, au contraire, d’un grip monstrueux et d’un maintien de caisse irréprochable en toutes circonstances. L’arrivée progressive du couple participe grandement à la confiance prise en un rien de temps sur une départementale aussi bosselée par endroits qu’hyper-sélective. L’amortissement déjà rigoureux en mode Strada instaure un rapport viril mais toujours correct avec la chaussée.
Il est possible, voire recommandable de monter de deux crans en intensité : Sport puis, soyons fous, Corsa. Le V10 n’attend alors plus le mi-régime pour faire trembler la cime des arbres, la suspension magnéto-rhéologique (option à 6 980 € livrée avec le lift) se fige mais tient bon, la boîte à double embrayage, si docile au quotidien, se mue en lance-roquette, tandis que le volant se durcit pour ajouter encore un peu de sel au bras de fer.
Les deux P Zero se transforment alors en épais marqueurs noirs de 30 cm de large. L’exercice ne vire pas pour autant à une séance de drift. Point de fumée ni de sueur froide : une fois le point d’équilibre franchi, la Huracán reste avide de grip et finit par le retrouver fermement, pas brutalement. Le train arrière dispose d’un simple mais efficace autobloquant mécanique à disques, assisté d’un antipatinage sur mesure baptisé P-TCS (Peformance Traction Control System). Lamborghini annonce une maîtrise du survirage améliorée de 30 % par rapport à l’ancienne Huracán propulsion (LP 580-2).
Les 610 ch suffisent amplement à accélérer le paysage plus que la raison l’exige. Lamborghini annonce 3”3 de 0 à 100 km/h et 9”6 de 0 à 200. L’Evo RWD Spyder est rigoureuse, performante et efficace pour briller sur piste entre deux road trips.
Lamborghini s’accroche à l’atmosphérique et un sens inné du spectacle, incarné de la plus belle manière qui soit par la Huracán Spyder deux roues motrices.
La vie en Lamborghini est une fête ! Vous sentez venir la tirade enflammée sur la musique du légendaire V10 atmo ? Chaque mise à feu, chaque tunnel, chaque paroi rocheuse bref, chaque instant ou presque au volant vous donne raison et nous fait perdre la notre.
Mais la fête est ailleurs, ou plutôt partout. Depuis la Performante, la Huracán a fait une entrée fracassante au plus haut niveau d’une catégorie ô combien relevée.
La dernière génération, baptisée EVO, s’y est solidement installée. Le catalogue Lamborghini ne s’était pas encore enrichi d’une EVO RWD Spyder allégée de deux roues motrices.
Inutile de commencer à jouer avec les modes de conduite pour ressentir l’exquis mélange de théâtralité, de fun et de rigueur proposé par la Huracán des épicuriens. La capote évidemment rangée dans son coffre (en 17 secondes), les poumons se gonflent d’un bon air frais et les tympans d’une mélodie aux mille variations. Il est de coutume chez Lamborghini de dégonfler le V10 des modèles propulsion (hormis la STO). La puissance chute ainsi de 640 à 610 ch, soit la cavalerie dont disposait l’ancienne Huracán quatre roues motrices. Le sacrifice est d’autant plus supportable qu’il est compensé par un allègement de 33 kg. Même avec une pente à 7 %, l’Italienne grimpe avec le panache du taureau de combat doré tatoué sur son museau.Le Spyder de Sant’Agata joue sur un registre d’une tout autre noblesse, le V10 Lambo permet de ne pas rater une miette du fabuleux voyage. L’aiguille du compte-tours ne bondit pas entre chaque couplet, elle laisse déguster chacun des 8 700 tr/mn qui composent cet hymne à la joie.
Dans un monde automobile qui ne jure que par la suralimentation quand il ne sombre pas dans la torpeur électrique, pareil concert a le don d’arrêter le temps. Ce bloc atmosphérique n’a pas toujours chanté aussi juste et fort. Sa voix a pris toute son ampleur avec la Performante, première version à avoir bénéficié de soupapes en titane, d’une admission revue, d’une gestion électronique plus “agressive” et surtout de cette fabuleuse ligne d’échappement en titane. Pourtant proche cousine de cette Huracán sur le papier, la R8 RWD était infiniment moins volubile, vibrante et efficace. Les deux autos partagent beaucoup de choses, mais manifestement pas l’essentiel. À commencer par la mise au point. Du comportement flou voire scabreux de l’Audi à la limite, on ne retrouve rien, Dieu soit loué, au volant de la Lambo. Celle-ci fait montre, au contraire, d’un grip monstrueux et d’un maintien de caisse irréprochable en toutes circonstances. L’arrivée progressive du couple participe grandement à la confiance prise en un rien de temps sur une départementale aussi bosselée par endroits qu’hyper-sélective. L’amortissement déjà rigoureux en mode Strada instaure un rapport viril mais toujours correct avec la chaussée.
Il est possible, voire recommandable de monter de deux crans en intensité : Sport puis, soyons fous, Corsa. Le V10 n’attend alors plus le mi-régime pour faire trembler la cime des arbres, la suspension magnéto-rhéologique (option à 6 980 € livrée avec le lift) se fige mais tient bon, la boîte à double embrayage, si docile au quotidien, se mue en lance-roquette, tandis que le volant se durcit pour ajouter encore un peu de sel au bras de fer.
Les deux P Zero se transforment alors en épais marqueurs noirs de 30 cm de large. L’exercice ne vire pas pour autant à une séance de drift. Point de fumée ni de sueur froide : une fois le point d’équilibre franchi, la Huracán reste avide de grip et finit par le retrouver fermement, pas brutalement. Le train arrière dispose d’un simple mais efficace autobloquant mécanique à disques, assisté d’un antipatinage sur mesure baptisé P-TCS (Peformance Traction Control System). Lamborghini annonce une maîtrise du survirage améliorée de 30 % par rapport à l’ancienne Huracán propulsion (LP 580-2).
Les 610 ch suffisent amplement à accélérer le paysage plus que la raison l’exige. Lamborghini annonce 3”3 de 0 à 100 km/h et 9”6 de 0 à 200. L’Evo RWD Spyder est rigoureuse, performante et efficace pour briller sur piste entre deux road trips.
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